JavaScript must be enabled in order for you to see "WP Copy Data Protect" effect. However, it seems JavaScript is either disabled or not supported by your browser. To see full result of "WP Copy Data Protector", enable JavaScript by changing your browser options, then try again.

Seul l’intuition, la poésie, l’œil du cœur, appelez comme vous voulez le regard intérieur, nous permet de « voir » l’invisible. La connaissance embrasse autant l’extérieur que l’intérieur d’un « objet ».

Le monde post-moderne n’a d’yeux que pour l’objectif.  Parler de couleur des plantes est de la métaphysique fiction. Les couleurs des plantes ouvrent  les portes du « subjectif » qui peut devenir notre « Roy du cœur ».

Le visible n’est pas tout ce qui se « voit ».

Les problèmes, qui n’en sont pas, commencent déjà à ce niveau car le monde physique apparent n’est en fait pas aussi physique que ça. Le vide est très « plein », d’informations, d’énergies, de qualités multiples autant visibles qu’invisibles et imperceptibles par nos sens physiques.

Le corps physique, notre chair, baigne donc dans ce monde à deux faces, une de matière visible, une d’énergie invisible.

L’attention au subtil non verbal ouvre les portes du corps éthérique. L’éther donne un sens, il possède un sens que la matière visible n’a pas.

Dans le corps humain, l’énergie éthérique est transportée par des méridiens invisibles que les Chinois et les Indiens ont parfaitement décrits depuis des milliers d’années.

Ces représentations étranges d’humains avec des motifs, des excroissances et des ornements sur le corps symbolisent l’énergie éthérique. Cette énergie n’est pas qu’une force brute, par le son et la couleur, elle transporte une information, une structuration sur laquelle se « pose » le plan physique.

Le tout est plus que l’ensemble des parties. Une huile essentielle est un ensemble de molécules certes, mais de par le respect des composants organiques et le maintien du  « message » contenu dans le végétal par la distillation, elle se comporte comme un être complet, vivant, ce que les sages de l’Inde antique appelaient un Deva : l’esprit différencié correspondant à une fonction spirituelle énergétique ou à l’espèce d’un végétal, d’un animal ou d’un minéral.

Ces « couleurs » olfactives et énergétiques sont un moyen de symboliser un parfum par analogie avec ce que l’on ressent lorsque nous regardons une couleur donnée. C’est une notion entièrement subjective, c’est-à-dire en relation avec nous, le sujet. Ceci par opposition avec les notions objectives en relation avec l’objet.

La connaissance des « couleurs » olfactives et énergétiques permet d’évoluer avec sécurité et efficacité en aromathérapie subtile. L’intégration des huiles essentielles dans notre vie pour le rétablissement et le maintien de la santé nécessite de les comprendre comme des Devas, venus pour nous aider dans la phase de transition que nous traversons actuellement.

Les « couleurs » olfactives sont rapportées à la roue chromatique que nous retrouvons dans l’archéomètre classées en 12 nuances.

archeometre

L’usage de ces huiles essentielles se fait exclusivement soit en massage à 3% dans une huile végétale, en diffusion atmosphérique ou en aérosol dans un spray.

Chaque huile essentielle répond à des règles de prescription précises tant selon son indication agissant sur le plan matériel que par celle agissant sur le plan énergétique.

Nous proposons dans ce site un usage avant tout symbolique et énergétique des huiles essentielles et, en conséquence, ne pas les employer à plus de 5 % de concentration en massage dans une huile végétale. Un produit naturel n’est pas synonyme d’inoffensif ! En effet, certaines huiles doivent être utilisées uniquement sous contrôle médical en particulier pour les enfants et les femmes enceintes.

Les plantes sont sur la terre en piliers des montagnes depuis une quasi-éternité. Ce sont elles qui ont stabilisé les paysages en s’accrochant à la terre de leurs racines profondes. Les plantes ont donné l’air et la nourriture aux animaux. Nous sommes arrivés après en consommant tout cela. Les plantes nous ont donné, dans une époque bien plus récente, les médicaments qui nous soignent faute de nous guérir.

Les plantes soignent, c’est-à-dire apportent un pansement sur les plaies, une aide à un des corps qui est malade. Elles peuvent aussi guérir en nous réunifiant à l’âme à un niveau invisible mais tout à fait réel. Ne faire que soigner, c’est-à-dire mettre des pansements extérieurs, est insuffisant mais, dans l’état actuel de notre développement, s’occuper du plan de l’âme en négligeant le corps est prématuré.